24 Déc 2017 à 22:25
25 Déc 2017 à 11:17
25 Déc 2017 à 11:27
25 Déc 2017 à 14:42
PFB a écrit:80Hz soit une longueur d'onde de 4,29m, 156Hz 2,2m
Mauvaise distribution de l'énergie, tu viens de découvrir les modes propres de ta pièce.
PFB
25 Déc 2017 à 17:36
25 Déc 2017 à 18:42
sosto a écrit:c'est une pièce bien rigolote dont il dispose...
25 Déc 2017 à 18:49
25 Déc 2017 à 18:59
25 Déc 2017 à 19:04
PFB a écrit:
Toutes le pièces non traitées sont bien rigolotes.
Les fréquences de 20 à 200Hz restent très subtiles subjectivement. L'audition va glisser d'une certaine finesse à une discrimination binaire. L'auditeur va être influencé par la magnitude (niveau) mais aussi la décroissance du signal enregistré en fonction des conditions de reproduction.
Les conditions de reproductions sont influencées par une bonne distribution de l'énergie et une absorption adéquate aux basses fréquences. Mais aussi par le style d'enregistrement reproduit, du matériel avec des basses "courtes" pas empâtées sera à l'opposé d'une BOF. Car si la décroissante enregistrée est plus courte que celle de la pièce, la pièce domine, si c'est l'inverse l'auditeur percevra l'acoustique du matériel enregistré avec bien sûr des zones grises "ou ça passe".
Les enregistrements classiques ou l'information de la volumétrie de la pièce est conservée sont amusants, car si la décroissante et l'absorption de la pièce est mauvaise cette information disparait littéralement. Il faut évidement un système capable de reproduire des basses dans la bande des 20-40Hz (souvent négligée), mais alors les emmerdes déboulent avec la pièce...
Un aspect souvent inconnu c'est l'influence des algorithmes de suréchantillonage et les filtres numériques. Ceux-ci ont chacun leur sonorité en particulier à cause des pré et post oscillations en régime impulsionnel. Ce qui va avoir une influence dramatique en fonction de l'acoustique de la pièce mais aussi en fonction du transducteur. En utilisant certains algorithmes la zone grise peut parfois être franchie. L'important étant de pouvoir rapidement adapter ces algorythmes (sans revendre un DAC à pas de prix) d'ou mon passage au computer audio et à l'utilisation de HQ player.
Au final il faut réunir un ensemble de conditions pour expérimenter ces problèmes subjectifs de basses dominantes à certaines fréquences, mais pas la porte d'entrée reste la mauvaise distribution d'énergie d'une pièce et son manque d'absorption aux basses fréquences. Qui sont une plaie en HiFi.
J'utilise des absorbeurs actifs même si l'effet en magnitude reste subtil avec 2-4dB d'écart, dans le domaine fréquentiel, je passe de plus de 6 secondes de temps de réverbération à 1,7. C'est sans appel. Le pire étant que je m'habitue a un certain silence dans le grave, ce qui permet une finesse, un modelé des premières notes ou de l'ambiance d'une pièce ou des deux, ce qui rend l'expérience de reproduction totalement immersive.
PFB
25 Déc 2017 à 19:06
25 Déc 2017 à 21:28
sosto a écrit:Et répondre à la question, c'est plutôt la partie en gras qui concernerait notre camarade ?
26 Déc 2017 à 04:23
26 Déc 2017 à 10:34
G2Marine a écrit:Alors effectivement, micros, mesures, correction de phase par convolution et panneaux de Schroëder permetteraient surement de "lisser" ces imperfections.
G2Marine a écrit:toutes les enceintes qui passent par içi révèlent une pointe de 6/8db entre 70 et 150Hz (leurs fréquences de résonnance propres ?) dès lors que je passe en démat'.
G2Marine a écrit:Ma question était donc de savoir si CERTAINS D'ENTRE VOUS avaient aussi remarqué ce phénomène?
G2Marine a écrit:En bref, serions nous tous des pigeons du Hi-Rez, aussi...
G2Marine a écrit:c'est peinture sur les murs, des volets mais pas de fenêtres, et carrelage au sol... les tapis et tentures par 35° à l'ombre...
26 Déc 2017 à 18:09